Une figure importante de la lutte contre la violence vidéoludique en Allemagne vient de mourir. Il méritait bien un dernier hommage.

Suite à la tuerie d’Erfurt le 26avril 2002, les médias allemands ont tiré à boulets rouges sur Counter-Strike, et ouvert le débat sur les « killerspiele ». Voici une revue de presse exhausive, qui permet de se replonger dans ce climat d’hystérie.

Cinquième et dernière partie de l’entretien-fleuve avec Pfeiffer et Kleimann, où il est question de la notion d’addiction aux jeux vidéo.

Quatrième partie de l’entretien-fleuve avec Pfeiffer et Kleimann, où il est question de savoir si on peut éduquer aux médias, et si le jeu vidéo fait partie de la culture.

Troisième partie de l’entretien-fleuve avec Pfeiffer et Kleimann, où il est question de la performance scolaire des enfants et de ce qui peut l’influencer.

Deuxième partie de l’entretien-fleuve avec Pfeiffer et Kleimann, où il est question de la pertinence du terme de « killerspiel » et de l’interdiction des jeux « violents ».

Voici la première partie d’un entretien-fleuve avec Christian Pfeiffer, l’opposant numéro un à la violence vidéoludique en Allemagne, accompagné d’un de ses collaborateurs.

Après avoir traduit des éditoriaux, des reportages télévisés, des interviews et des articles scientifiques… il ne nous manquait plus que les projets de loi. C’est chose faite, avec cette proposition visant à criminaliser les « killerspiele ».

Il y a dix ans, les reporters de l’émission politique allemande « Panorama » décidaient d’enquêter sur les fameux « killerspiele ». Qu’est-ce qu’ils se sont bidonnés… et qu’est-ce qu’ils ont bidonné.

Nouvel article en provenance d’Allemagne, qui revient sur le « killerspieldebatte », son déclin et son agonie. Toujours d’actualité, même après la tuerie de Munich qui n’a pas suffi à le raviver.