Un bon coup de poing dans les dents, une gifle et je te pends par les pieds, un menu alléchant pour renouveler un classique qui sentait le cadavre moisi

Lorsqu’une saga légendaire renait de ses cendres et réussit à sublimer le matériau original, cela donne Metroid Prime. Retour sur un chef-d’œuvre.

“But his soul was mad. Being alone in the wilderness, it had looked within itself and, by heavens I tell you, it had gone mad.”

Un petit voyage sur une planète hostile, peuplée à ras bord de cinglés, maniaques de la gachette et robots agressifs, ça vous tente ? Bienvenue sur Pandora, Vault hunter.

Alors que tout le monde espérait un vrai troisième épisode, Ubi décide de donner une deuxième suite aux aventures d’Ezio, le tombeur italien.

Un Grand Theft Auto en culottes courtes, c’est peu ou prou ce que propose Rockstar avec Bully, ici testé en version « Scholarship Edition » sur PC.

Après un premier épisode de haute tenue, le chevalier noir revient dans un terrain de jeux largement plus vaste. La chauve sourit-elle toujours ?

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Devenir un chasseur de primes au temps du far-west sans décoller du bistrot du coin, c’était possible à l’époque bénie des nineties, grace à une borne de Konami mémorable. Cette borne, c’est Sunset Riders.

J’avais huit ans, je squattais la M82 du Joué Club de Saint-Nazaire, et un titre au contenu colossal me faisait frémir autant qu’il m’intriguait, parce que je le savais indomptable sur une simple borne de démonstration. Ce titre me narrait la Légende de Zelda.