On jouait déjà avant ta naissance, donc on a raison

Genre: Bande annonce : LE JEU NON-INTERACTIF ! • Editeur: Squénix • Date de sortie: 9 Mars 2010

Final Fantasy XIII

Par • le 26/1/2011 • À la une, PlayStation 3, Tests & previews, Xbox 360 • Exemplaire du jeu payé avec nos sous •

EN VIDEO !

*ATTENTION SPOILERS*

Aujourd’hui nous avons un jeu très spécial à examiner et pour l’occasion j’ai décidé de faire quelque chose d’un peu plus amusant qu’un pavé de texte noir sur fond blanc. J’ai donc enfilé ma casquette de critique acerbe, sorti mon micro casque pourri à 10 pièces et vicieusement plagié le style de Zero Punctuation parce que autant être honnête, je suis un gros flemmard et j’ai autant de créativité qu’un étudiant en beaux arts.

Bref.

JEU DE MOT ALACON

L’histoire de la treizième pas du tout finale science fiction démarre dans une métropole flottante où à lieue une sorte de guerre civile. Une bande de terroristes font dérailler un train et commencent à combattre l’autorité locale qui est forcément maléfique puisque les soldats portent des uniformes de stormtroopers nazis. Le jeu introduit alors ses protagonistes tous droits sortis du générateur de personnages automatique de Square. Nous avons saveur sérieuse, saveur pleurnicheuse, saveur ferme ta putain de gueule, saveur kikoo lol et saveur ethnique, nommés respectivement Lightning, Hope, Snow, Vanille et Sahz. Après une bonne heure d’explosions, de confusion et de caméra instable, les cinq protagonistes se retrouvent face à un artichaut géant qui leur colle un tatouage sur le corps, leur donne des pouvoirs magiques et leur impose une mission sans vraiment leur expliquer clairement leur objectif.

Permettez moi d’arrêter un instant pour vous expliquer quelque chose. Dans n’importe quelle autre histoire de fantaisie ou de science-fiction, lorsque les protagonistes rencontrent une créature étrange ou un phénomène unique, l’un des personnage va dire « c’est quoi ça ? » et un autre personnage va expliquer ce que c’est. On appelle ça de l’exposition, cela permet d’expliquer au spectateur ce qu’il se passe.

Ultime Bizarrerie 13 ne fait pas ça et jette le joueur dans un monde qu’il ne connait pas sans lui expliquer quoi que ce soit. Les personnages utilisent sans arrêt des noms comme « Pulse », « Cocoon », ou des mots inventés comme Fal’cie, l’cie, Eidolon mais ce qu’ils signifient n’est jamais expliqué pendant l’histoire. Dernière Rêverie 13 explique son jargon, dans une encyclopédie interne au jeu. Quelle merveilleux exemple de narration efficace… Lorsque vous êtes allez voir Harry Potter au cinéma, est-ce qu’on vous a distribué un lexique indiquant la définition de Moldu et de Quidditch ? NON ! Je n’ai pas acheté une PS3 pour lire un putain de Wiki, je veux JOUER. Même Mass Effect et Dragon Age qui ont des encyclopédies internes restent compréhensible sans avoir à les consulter une seule fois. Vous allez pas me dire que parmi les heures et les heures de cinématiques gaspillée pour insérer des scènes de combats invraisemblables et des dialogues inutiles mais le jeu n’a pas deux minutes pour me dire ce qui se passe ?

N’allez pas croire pour autant que le scénario soit « complexe » ou « profond ». En résumé, c’est l’histoire d’une bande de gamins mal coiffés qui sont forcé à aller confronter une entité magique appelée l’orphelin en marchant du point A jusqu’au point B. À l’issue du voyage, l’un des membres du groupe va se transformer en monstre afin de combattre l’orphelin. S’ils échouent leur mission, ils sont changé en statues de pierre, s’ils réussissent, ils sont changés en statue de cristal. Mais la principale raison pour laquelle ils n’ont aucune envie de remplir leur mission est que l’orphelin est ce qui permet à la cité flottante de rester en l’air. Sur leur chemin, ils sont régulièrement interrompus par l’antagoniste de l’histoire qui apparemment VEUT qu’ils réussissent leur mission parce que le sacrifice de millions de personne pourrait faire revenir DIEU. Mais comme c’est un antagoniste, la meilleure méthode qu’il trouve pour les encourager et de tenter de les assassiner. Lorsqu’ils arrivent enfin devant l’orphelin, ils découvre que VEUT mourir parce que vivre c’est trop compliqué et quand on est mort on a pas de souffrance. Mais voyez vous, un RPG japonais sans combat est impensable et par conséquent, l’orphelin à beau gueuler « Tuez moi tuez moi », en pratique il refuse de mourir.

Lorsque l’enfoiré passe enfin l’arme à gauche, l’inévitable se produit et la cité flottante commence à tomber. C’est alors que deux personnages du groupe claquent des doigts et PAF la cité cesse de tomber. LA FIN !

Je n’avais absolument aucune attente envers ce jeu et il parvient quand même à me décevoir…

L’histoire avance à la vitesse d’une étoile de mer coincée sous un parpaing, les dialogues sont constituées à 100% de clichés récité par des personnages unidimensionnels et globalement ça laisse un désagréable goût de déjà vu.

Le gameplay n’est pas beaucoup mieux. Vous ne pouvez pas contrôler vos personnages directement, tout ce que vous pouvez faire c’est changer les subroutines de leur intelligence artificielle. C’est un système similaire Final Fantasy XII, la seule différence c’est qu’au lieu d’avoir programmer chaque ordre un par un en devant songer à toutes les situations possibles et imaginables pour ensuite avoir la possibilité d’envoyer ses personnages contre un monstre et partir se faire un sandwich, dans Final Fantasy XIII toute la programmation est pré-mâchée en 6 subroutines différentes et le jeu exige que vous mitrailliez le bouton A durant la totalité du combat. Donc en fait c’est pas du tout comme Final Fantasy XII.

Le système de combat se porte donc d’avantage sur la stratégie globale des affrontements ce qui est moins Final Fantasy et plus Fantasy Manager mais pourquoi pas. Seulement le jeu ne l’assume pas et rajoute des éléments complètement absurdes que je vais devoir les aborder un par un.

Premièrement, le jeu donne au joueur le contrôle direct du leader du groupe. Ici c’est inutile parce que les techniques du leader restent restreintes à son job, s’il est en mode guérisseur, il ne peut faire que des magies de soin, s’il est en mode attaquant il ne peut faire que des attaques. La seule chose à faire est de sélectionner « auto-attaque » à chaque fois ce qui signifie que vous passerez 99% de votre temps en combat à mitrailler frénétiquement le bouton A.

Deuxièmement, lorsque le leader est KO, c’est Game Over. J’ai beau avoir un sac bourré de queue de phœnix et mon guérisseur possède un sort de résurrection qu’il n’a pas besoin de mon autorisation pour l’utiliser. Mais apparemment lorsque le leader tombe, le QI collectif tombe au niveau d’une huitre. Ce qui est particulièrement absurde c’est que vous pouvez librement changer qui est le leader et ce choix n’a vraiment aucune importance contrairement à ce que le jeu prétends.

Troisièmement, l’interface est aussi user-friendly qu’une distribution d’Ubuntu configuré par ma mère. Il est impossible de changer directement les subroutines des personnages individuellement. A la place il faut préparer AVANT le combat ce que le jeu appelle des Paradigmes, c’est à dire des combinaisons de trois subroutines qu’on peut ensuite changer pendant le combat. SAUF QUE d’une on ne peut stocker que 6 paradigmes, de deux imposer une telle interface me parait excessif dans un jeu où on a que 3 personnages à gérer en même temps. Et par gérer, je veux dire vaguement surveiller avec un œil fermé.

Dernièrement, la courbe de difficulté du jeu est plus plate que la poitrine de Milla Jovovich. Voici la courbe d’un RPG ordinaire. Lors du premier tiers du jeu, pour s’habituer au système et à l’interface le joueur démarre avec très peu de techniques et passe son temps à alterner entre la commande « attaquer » et la commande « potion ». Puis le joueur gagne peu à peu de nouvelles compétences et de nouvelles magies offrant des bénéfices plus subtils. Les ennemis plus vicieux inflige des sorts plus varié qui empoisonnent, hypnotisent, pétrifient, etc… La difficulté revient alors à gérer tous ces effets pour vaincre ses adversaire. Vers la fin du jeu, lorsque le joueurs connait toutes les magies, toutes les techniques et que les personnages et leurs adversaires sont maintenant insensibles à tous les effets néfastes possibles et imaginables, la courbe de difficulté redescend en pic et l’affrontement final revient à l’alternance Attaquer Guérir mais avec des animations plus spectaculaires.

Fétide Flacidité XIII suit à peu près cette courbe mais en coupant le milieu. Le jeu nous restreint à seulement deux personnages pendant les 20 premières heures. Mais lorsqu’on a enfin le contrôle de toute l’équipe, on possède déjà toutes les techniques nécessaires pour terminer le jeu. La seule stratégie dont vous aurez besoin durant tout le jeu est la suivante. Démarrez le combat avec combattant physique, un magicien et un médic. De temps en temps, lorsque l’ennemi balance une attaque plus puissante, passez à deux médics et un punching bag pendant quelques secondes le temps de récupérer. Répétez le processus un bon million de fois par combat parce que les boss ont des barres de vie aussi longues que la muraille de chine et vous avez gagné. Le seul élément qui détermine réellement l’issue d’un combat est le niveau de votre groupe. Donc si vous échouez c’est qu’il faut aller faire du putain de levelling, la phase la plus chiante de tous les RPGs.

Le jeu est un putain de couloir. C’est ridicule. Qu’est-il arrivé au concept du donjon ? Du labyrinthe contenant pièges et trésors ? Ce qui était une amusante petit blague dans Final Fantasy 7 lors de l’ascension de la tour de la Shinra est maintenant devenu la norme ! Vers la 25e heure de jeu le groupe se retrouve littéralement téléporté sur la planète levelling. C’est là que le jeu devient soi-disant « intéressant » selon tous les moutons qui se branlent sur leur posters de Vanille tous les soirs comme-ci c’était une bonne excuse ! Pardonnez moi si je ne me souviens pas avoir attendu 25 heures pour que Chrono Trigger « devienne » intéressant. Mais de toute façon, c’est loin d’être l’adjectif que j’utiliserai pour décrire la planète levelling. L’endroit est moins linéaire certes mais il n’y a rien d’autre à faire ici que de tuer les même putain monstres encore et encore. Le jeu introduit ici un système de quête et même ça ils ne sont pas foutu de le régler correctement. Partout sur La planète levelling sont éparpillés des panneaux indiquant « va tuer ce monstre qui est là-bas ». Mais pour une raison qui m’échappe, on ne peut garder qu’une seule quête en mémoire.

Mmm, donc en fait, mes personnages ont un cerveau de shadok.

Le plus frustrant c’est que les panneaux ont tendance à se rassembler en groupes, ça veux dire que pour chaque putain de quête il faut lire un panneau, marcher vers le monstre qui est généralement à l’autre bout de la putain de planète. Tuer le putain de monstre, et enfin refaire tout le chemin inverse pour lire un autre panneau et recommencer le processus pour la quarantrillionnième fois.

Au bout de deux heures de ça, j’ai promptement dit au jeu d’aller se faire foutre et j’ai repris le couloir histoire d’en finir le plus vite possible. Étant de nature masochiste, j’ai persisté jusqu’au dernier boss qui fut la goutte qui mis le feu aux poudres. En plein milieu de l’interminable combat, le boss leva la main et tua mon leader…

(Lâche la manette, va voir sur gamefaqs et on lui répond qu’il faut faire du levelling)

Va te faire foutre putain de jeu à la con ! Comment une telle honte peut-être se vendre aussi bien ? Ho mais je sais pourquoi. C’est parce que les nimages elles sont zoulies. Et bien pour le jeu sensé être le plus beau de cette génération, je ne suis pas impressionné. Ah c’est sur que les graphismes sont détaillés, mais il y a une grande différence entre détaillé et esthétique. Les différents décors qu’on traverse sont magnifique pour la plupart mais ils sont complètement déconnectés les uns des autres. Une minute on est sur un océan de glace, la minute d’après on se retrouve dans une décharge. avancez encore et PAF vous voilà dans une forêt. Il n’y a aucune transition entre ces lieux et on a aucun point de repère pour se situer dans l’univers du jeu. Quant aux cinématiques, la caméra est tellement agitée qu’il est impossible de discerner l’action correctement. J’ai l’impression de regarder un film de Michael Bay. Un MAUVAIS film de Michael Bay. Et vous savez quoi, c’est exactement ce que Final Fantasy XIII est. Un jeu sans âme conçu par un comité de publicitaires tenant en otage tout un gratte-ciel de programmeur et de modélisateurs 3D qui ont depuis bien longtemps perdu leur volonté de vivre. Et les voilà qui annoncent Final Fantasy XIII 2 ! Combien d’éléments de gameplay vont-ils pouvoir supprimer avant qu’on arrête d’acheter ces putains de jeux ? Je peux sympathiser avec un titre innovateur raté parce que ses ambitions ont été écrasé par un budget insuffisant ou des délais impossibles. Mais Final Fantasy XIII n’a aucune excuse.

Testé sur Xbox 360 parce que ma PS3 était en panne à l’époque.

Ce jeu est une honte. C'est l'équivalent vidéo ludique d'une peinture sur huile représentant une crotte de babouin tellement détaillée qu'on peut y reconnaitre les bananes qu'il a mangé. C'est impressionnant certes mais ça ne change pas le fait que vous avez payé pour admirer l'image d'une grosse merde.

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est joueur depuis 1989. Né avec un(e) gameboy dans les mains, ce joueur hardcore masochiste et élitiste démarre toutes ses parties en mode difficile et laisse sa frustration briser ses manettes.
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27 commentaires »

  1. Ahahah :D Drôle !

  2. Oh que j’ai riz.
    Le souci, c’est que maintenant je ne voudrais que des tests bourrés et des tests vidéo sur gamingsince198x. Merci par avance de faire le nécessaire :3

  3. C’est marrant mais j’avais pas envie de le faire ce jeu,… et la maintenant après avoir vu ce (superbe, splendide,… j’en fais trop ?) test mon coté masochiste me donne envie de savoir si c’est vraiment si mauvais.

    Bon j’ai déjà acheté (pas cher, bac à promo en angleterre, donc vraiment pas cher) alpha protocol que j’ai pas eu le temps de faire, mais celui la vraiment je sens que je vais aussi l’acheter (pas cher également). (Je tiens à préciser que j’achète aussi des bons jeux…)

    Désolé pour tant de parenthèses.

  4. J’aime tellement ce test, tellement, tellement, tellement <3

  5. J’ai tellement ri. Tellement, tellement ri…

  6. MAIS MERCI !!!!
    Encore une raison de pas passer à la PS3 ! na

  7. J’ai tendance à ne pas être fan de ce que fait Ragny mais alors là… LA.

    C’est merveilleux.

  8. Sérieux, envoie-le à Yathzee, je trouve ça énorme.

  9. C’est absolument énorme.
    Tout y est magnifiquement décrit.

    On peut avoir Final Fantasy XIV tout pareil please ?

  10. Désolé, je ne joue pas aux MMO. Je me suis tellement fais chier en jouant à World of Warcraft que je regardais South Parc en jouant pour ne pas m’endormir, je préfère pas tenter un mauvais MMO. xD

  11. J’ai beaucoup riz. Et je suis admiratif devant le boulot pour arriver à ce résultat. Et je ne jouerai sans doute jamais à FFXIII :)

  12. Joli test même si je suis pas d’accord 8D Je suis pas une fangirl qui se branle devant un portrait de Hope/Snow/ … Sahz o.O Mais pourtant, j’ai adoré ;) Pas pour les graphismes, parce que j’en ai strictement rien à foutre que ce soit en full HD de la mort ou en DaubeD, mais parce que j’ai retrouvé la Fantaisie que j’aimais, comme dans les FF habituels et que j’avais perdu dans FF12 (semi MMO, bon par ailleurs, mais pas pour moi)… Ouai, c’est un couloir, et bien, j’aime les couloirs :p (puis hey, va pas me dire qu’un donjon dans FF, c’est pas juste un couloir avec des embranchements quoi –‘ Un J-RPG, c’est souvent linéaire, là, c’est voulu en plus. ). … mais j’ai pris mon pied (et mon pouce droit ) dans les combats et j’ai pas regretté. Ceci dit … je comprends qu’on le déteste. Et ça m’a pas empêchée d’être morte de rire en lisant ce magnifique test. Merci 8D

    … (ah au fait, je lis ce blog depuis des mois, j’adore, je plussoie, j’aime, je vénère \o/ )

  13. Très (trop ?) vrai hélas, pourtant au début j’avais été captivé..Allez pendant 8 H de complète ligne droite puis ensuite Shiva qui se transforme en moto et transformer Bahamut m’ont fait laisser tomber. Le pire c’est quand on découvre le pitch ( faire revenir Dieu…Ah comme dans Bayonetta mais en moins bien ). Et Hope et son  »operation Nora » rahhhhh…Du coup cet article fut un réel plaisir.

  14. Tout pareil : bravo et merci !
    Sinon, tu joues sur ps3 ou sur box ?
    Parce bourriner le bouton A, c’est plutôt sur bobox.
    Je fais tourner (j’ai quelques fanboys FF qui vont pas être déçus du voyage) et j’applaudis encore.

  15. Celui-là j’y ai joué sur Xbox mais ça n’a vraiment pas d’importance les deux version sont identiques.

  16. Ah c’est pour ça que je n’arrive pas à me motiver à jouer sur ce jeu (qu’on m’a offert… merci les collègues!)

  17. Du grand art. J’ai claqué une barre. Et j’en veux encore. ENCORE !!

  18. Dosap est raciste, j’aime pas trop comment elle considère Sahz :(

  19. Pipomantis => Baaah je le considère comme « Sahz »… tout le charisme de ce perso est contenu dans son nom, autant dire qu’il en a peu, sauf peut-être à certains passages … Enfin °° J’ai écouté ce test encore 3 ou 4 fois et je me marre toujours autant, un autre, un autre *w* !

  20. Magnifique, du début à la fin !

  21. Un des tests les plus couillus de l’histoire.
    Toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire parait-il. Mais quand c’est dit de cette manière, je dit Carte blanche !

  22. Comme prévu (comment ça tout le monde s’en foutais ? ) j’ai craqué, je l’ai acheté.
    Quelques jours avant de le recevoir (j’habite en Guyane et je commande au UK, d’où les queeeeeelques jours), à ma grande surprise le lecteur DVD de ma xbox360 à décidé de lâcher (moteur de rotation grillé !).

    Maintenant j’ai le jeu, mais … j’attends ma xbox neuve qui devrait arriver dans queeeeeeeeelques jours elle aussi !

    Bien que le jeu ne soit pas responsable de l’état de ma console, j’ai comme le sentiment que c’est quand même un peu de sa faute, du coup j’ai une légère haine envers un jeu que je n’ai même pas commencé, ça s’annonce bien. Avec la lecture de ce test en plus, je pars avec un à priori pas du tout négatif sur ma nouvelle collection de 3 frisbees pas cher !

  23. Loi de Murphy, ma console est arrivé mais un gentil plaisantin à eu la bonne idée de me piquer le disque dur, la manette ainsi que le micro-casque lors d’une de ses périodes de stockage, reste plus qu’à galérer pendant quelques jours avec le SAV du vendeur par correspondance.

    Vais tous les tuer.

    Cordialement,…

  24. Ce sont des signes du destin, laisse tomber cet entreprise. Jette le disque dans un volcan ou une faille spatiotemporelle avant qu’une catastrophe ne t’arrive.

  25. Une adresse à conseiller pour la faille spatio-temporelle ?

  26. Le triangle des bermudes est probablement le plus proche de là où t’es.

  27. Même si je ne suis plus le public des FF depuis un bon moment, et que ce gros dossier ne me fera pas adhérer plus à son univers, c’est quand même intéressant d’avoir l’avis des défenseurs, et une explication un peu plus claire :

    http://gameweb.fr/articles/hub-8-final-fantasy-xiiixiii-2.html

    À lire.

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