Burnout Paradise
juin 5th, 2009Célébrée pour son efficacité et son irrévérence, la saga Burnout connaît un tournant avec ce dernier volet, intitulé en toute modestie Burnout Paradise. L’asphalte va brûler…
Célébrée pour son efficacité et son irrévérence, la saga Burnout connaît un tournant avec ce dernier volet, intitulé en toute modestie Burnout Paradise. L’asphalte va brûler…
Pour le dernier update de Team Fortress 2, Valve avait soigneusement entretenu le secret: originellement destiné à la classe du sniper, quelques éléments troublants laissaient entendre que tout n’était pas si évident…
Une scène surréaliste a eu lieu ce mardi 2 juin 2009 au soir, rayon jeux vidéo du magasin Virgin des Grands Boulevards.
Alors que la VCS entame son chant du cygne, un petit shooter sorti de nulle part et très mal marketté par Atari défraye la chronique grace à une réalisation de qualité.
Comment le rédac-chef de votre site préféré voit sa pile de jeux à boucler grandir de jour en jour.
En 1992, un jeu de combat aux graphismes faits d’images digitalisées fait énormément parler de lui. Pour quelles raisons ? Son ultraviolence, voyons.
Avant que Capcom ne vienne mettre un grand coup de pied au cul des beat’em all d’arcade avec Final Fight, c’est Double Dragon qui règnait en maître sur le genre et cet épisode, complètement inédit et spécialement destiné à la NES, fait partie de ces pépites qui malgré leur grand âge se rejouent encore et toujours avec le même bonheur.
Aujourd’hui, un Entre nous un peu particulier puisque le texte qui va suivre est l’oeuvre d’un auteur invité, mais pas forcément un inconnu pour certains d’entre vous.
Un petit blind-test ça vous dit ? C’est toujours mieux qu’un déjeuner gratuit.