Moi quand je serai grand, je voudrai parcourir le monde, et me marier avec une bonnasse, et avoir des enfants et parcourir le monde avec eux. A dos de dragon.

Un podcast où je parle dedans !
Et même que je dis (presque) pas de conneries.

Un Halo sans MasterChief, le héros le moins charismatique de l’univers ? Eh bien, pourquoi pas.

Où le rédacteur en chef de votre site préféré vous explique pourquoi il n’a joué que trois heures avant d’écrire son test.

Oui, je SAIS, on est en septembre et il est donc bien tard pour parler du Summer of Arcade 2010. Mais pas tant que ça non plus.

Ce qui était cool avec ce jeu, c’est qu’on n’était pas obligé d’atterrir sur un porte-avions à la fin du niveau 1 et de se crasher en permanence. Pas comme dans l’autre sur NES, là.

Retrouver l’ambiance des mercredis après-midi à jouer à la console chez les copains, ça n’a pas de prix ! Enfin maintenant si, le prix d’un jeu DS pas comme les autres.

Le bretteur Link revient dans un rutilant petit train qui fait tchou-tchou… blanc.

Le dieu de la guerre déchu est de retour pour clore une trilogie faite de vengeance et d’une débauche de violence à grand spectacle. Ça va saigner, et pas qu’un peu.

Après avoir créé la surprise, le professeur Layton et son jeune assistant Luke reviennent pour une nouvelle enquète pleine de mystères et… de puzzles divers et variés.