Cette semaine, les jeux vidéo font la une de Télérama à l’occasion de la réédition d’un livre sur leur saga. Malheureusement, le contenu n’est vraiment pas à la hauteur de cette une pétaradante. C’est d’autant plus dommage que le livre dont il est question mérite mieux. Tout comme le sujet qu’il traite, à savoir l’histoire des jeux vidéo.
Un échange d’e-mails avec un ami me permet de revenir sur l’article concernant « l’amoklauf de Winnenden », d’aprofondir quelque peu mes théories, et aussi de faire avancer le débat.
Il n’y a même pas deux jours que la fusillade de Winnenden a eu lieu, et tout le monde a donné son avis dessus, en ressortant les arguments habituels. Qu’on me permette d’avancer les miens, car je ne crois pas qu’ils aient été beaucoup utilisés.
Voici le début d’une série de tests sur les Elder Scrolls, la fameuse saga de jeux de rôles de Bethesda Softworks. Je commence par le deuxième, puisque c’est avec lui que j’ai découvert la série (d’ailleurs, c’est aussi avec lui que j’ai découvert les jeux de rôle informatiques).
Aujourd’hui, à Munich, a eu lieu une conférence réunissant de nombreux scientifiques (notamment allemands) ayant chacun travaillé sur un aspect ou un autre de la violence des jeux vidéo. Au menu : effets négatifs des « jeux violents » à court terme comme à long terme, implications politiques, et étude des réactions des joueurs de ces jeux face à la critique.
Après avoir lu plus en détail le livre de Gary Cross, voici un petit complément à l’article précédent. Cette fois-ci, pas d’argumentation fouillée, ni de références pointilleuses : disons plutôt un billet d’humeur.
Ces derniers temps, de plus en plus d’articles et de livres paraissent sur l’immaturité et l’infantilisme des 20-30 ans. D’ailleurs, un signe qui ne trompe pas est qu’ils jouent en masse aux jeux vidéo. Il faut croire qu’on ne se débarrassera pas de l’équation « jeux vidéo = enfants » si facilement !
Parmi les images suivantes, qui dépeignent des joueurs de jeux vidéo, une seule est à prendre au second degré. Saurez-vous la retrouver ?
C’est maintenant officiel, Jack Thompson, l’Attila du débat sur les jeux vidéo, le Roi Midas du Point Godwin, vient d’être définitivement radié du barreau. Mais est-il vraiment sorti de nos vies ?
Amis lecteurs, je suis bien embarrassé : je n’ai pas le temps d’écrire mon prochain article. Saurez-vous le rédiger à ma place ? Vous verrez, c’est très rigolo !