Quatrième partie de l’entretien-fleuve avec Pfeiffer et Kleimann, où il est question de savoir si on peut éduquer aux médias, et si le jeu vidéo fait partie de la culture.

Troisième partie de l’entretien-fleuve avec Pfeiffer et Kleimann, où il est question de la performance scolaire des enfants et de ce qui peut l’influencer.

Deuxième partie de l’entretien-fleuve avec Pfeiffer et Kleimann, où il est question de la pertinence du terme de « killerspiel » et de l’interdiction des jeux « violents ».

Voici la première partie d’un entretien-fleuve avec Christian Pfeiffer, l’opposant numéro un à la violence vidéoludique en Allemagne, accompagné d’un de ses collaborateurs.

Après avoir traduit des éditoriaux, des reportages télévisés, des interviews et des articles scientifiques… il ne nous manquait plus que les projets de loi. C’est chose faite, avec cette proposition visant à criminaliser les « killerspiele ».

Il y a dix ans, les reporters de l’émission politique allemande « Panorama » décidaient d’enquêter sur les fameux « killerspiele ». Qu’est-ce qu’ils se sont bidonnés… et qu’est-ce qu’ils ont bidonné.

Le CRPG a toujours été mon genre de jeu favori. Et pourtant j’y ai gaspillé des centaines d’heures à faire des tâches répétitives. Où est donc le plaisir dans tout ça ?

Nouvel article en provenance d’Allemagne, qui revient sur le « killerspieldebatte », son déclin et son agonie. Toujours d’actualité, même après la tuerie de Munich qui n’a pas suffi à le raviver.

Dave Grossman, l’adversaire le plus influent de la violence vidéoludique, sort un nouveau livre, où il explique qu’elle entraîne à tuer. Ironie du sort : il se retrouve, lui aussi, accusé d’entraîner à tuer.

Suite à la fusillade de Munich, de plus en plus de voix se font entendre pour réclamer un débat sur les « killerspiele ». Le journaliste dont nous vous présentons l’article en fait partie. Mais sert-il sa cause efficacement ? Spoiler : la réponse est non. Encore une fois.