Un « amoklauf » vient d’avoir lieu en Allemagne. Et cela suffit pour raviver les commentaires anti-« killerspiele ». Mais sommes-nous vraiment revenus à la situation « d’avant » ?
Retour sur la croisade américaine contre Donjons & Dragons et le jeu de rôle, dont Thomas Radecki a pris la tête, accompagné de Patricia Pulling.
Au milieu des années 80, la NCTV s’expose à de nombreuses critiques, y compris de gens qui partagent la même cause. La personnalité et les méthodes controversées de son fondateur y sont pour beaucoup.
Dans les années 80, Thomas Radecki est l’un des principaux croisés de la lutte contre la violence des médias. Quelles sont ses cibles principales ? Et quel est son discours ? C’est ce que nous allons découvrir.
Un adversaire farouche des jeux de rôle et des jeux vidéo violents vient récemment d’être condamné à une peine de prison pour, entre autres, trafic de drogues et exploitation sexuelle. L’occasion de revenir sur sa carrière
Nouvelle traduction d’article en provenance d’Allemagne, où cette fois nous faisons la connaissance d’un Ministre de l’Intérieur qui voulait interdire les jeux violents, et tant qu’à faire, organiser des descentes de police contre les joueurs récalcitrants.
Les polémiques sur la violence vidéoludique sont éteintes depuis longtemps. Y compris en Allemagne, où le « Killerspieldebatte » est un vestige du passé. L’occasion de revenir dessus, en mode « Que sont-ils devenus ? ».
Un site vidéoludique majeur disparaît, témoin d’une époque qu’on ne regrettera pas. Faut-il pour autant l’oublier ? Voilà qui serait regrettable.
Avant de se demander si le débat est mort, on peut se demander si, pour commencer, il y en avait un. Réponse courte : pas vraiment, non.
Une diatribe anti-jeux violents de plus génère un mini-buzz de plus. Certains veulent néanmoins discuter sérieusement. Est-ce encore possible ?