Sunset Riders
mars 10th, 2012Devenir un chasseur de primes au temps du far-west sans décoller du bistrot du coin, c’était possible à l’époque bénie des nineties, grace à une borne de Konami mémorable. Cette borne, c’est Sunset Riders.
Devenir un chasseur de primes au temps du far-west sans décoller du bistrot du coin, c’était possible à l’époque bénie des nineties, grace à une borne de Konami mémorable. Cette borne, c’est Sunset Riders.
Avec ses graphismes enchanteurs, son côté action/aventure et son épique scénario, Soleil est souvent considéré comme le Legend of Zelda de la Megadrive. Derrière cette appellation facile se trouve un jeu moins manichéen et simpliste qu’il n’y paraît.
En 1992, un jeu de combat aux graphismes faits d’images digitalisées fait énormément parler de lui. Pour quelles raisons ? Son ultraviolence, voyons.
Après un premier épisode qui a fait honneur à la 16-bits de Sega, Sonic revient accompagné par un petit renard à deux queues du nom de Tails. La magie fonctionne-t’elle toujours ?
Nous sommes en 1991 et Sega bataille dur pour imposer sa Megadrive sur un marché toujours dominé sur la NES de Nintendo. La Super Famicom commençant à poindre le bout de son nez mais n’étant pour l’instant distribuée qu’au Japon, il est important pour l’éditeur japonais spécialiste de l’arcade de se trouver une mascotte attachante, façonnant une image de marque aussi durable et solide que le plombier moustachu du concurrent. Après avoir expérimenté Alex Kidd, Joe Musashi et autres Ax Battler, voici que déboule un hérisson bleu dont la particularité est de courir vite… très vite.
En ces temps éloignés, les jeux tirés de licences Disney étaient synonymes de qualité tant le studio insistait pour conserver une image irréprochable, et ce quelle que soit la console. De nombreux hits ont ainsi vu le jour grace à cette volonté, et World of Illusion est l’un d’entre eux.