Gears of War
février 6th, 2009Vendu comme le premier représentant sur console de la toute puissance de l’Unreal Engine 3, Gears of War est la promesse d’une bonne grosse claque technologique. Mais est-il bien fnu ?
Vendu comme le premier représentant sur console de la toute puissance de l’Unreal Engine 3, Gears of War est la promesse d’une bonne grosse claque technologique. Mais est-il bien fnu ?
Quand une vieille diva se fait lifter histoire de connaître une seconde jeunesse, parvient-elle à séduire de nouveaux amateurs ou laisse-t’elle un goût amer après l’amour ?
Quand une superproduction AAA pète plus haut que son cul et s’avère plus chiante à jouer qu’un titre développé par des étudiants en game design, le testeur tire la gueule.
Joli, coloré et imaginatif, ce qui ne semblait être qu’un banal jeu de plateforme révèle des trésors d’inventivité.
Alors bon, comment vous explisuer. Commencer par un bio de Jeff Minter ? Non. Vous expliquer Tempest et Tempst 2000 ? Non plus. Vous dire que je suis un journaliste Télérama et que vous êtes loin en dessous ?
Que vois je ? Que vois-je ? Une nouvvelle rubrique sur 198X ! Un gros WTF, un peu de OMG, et une pincée de BBQ pour la nouvelle rubrique dite du « test bourré », qui servira à tous mes collègues !
A l’heure où les vieilles gloires de l’époque 8 bits tentent un retour fracassant un peu partout, Capcom est l’un des premiers à sortir son surf et à se jeter sur la vague. Clair que ça va bien leur profiter mais pour nous, ça vaut le coup ?
Soyons un peu originaux, et quand un titre tel que Mass Effect s’y prète autant, tentons une petit nouveauté ; Journal de bord de Trem_r, dans son voyage dans l’infiniment infini de l’Espace lointain de la bordure exterieure d’un truc avec un bord visiblement, plutôt que de vous pondre un test-résumé du jeu une fois […]
Hey Niko Bellic, my cousin, do you want a cheap XBOX360 ? Yes cousin, I can provide you one with a hot bitch dancing naked on top. Please. Buy a XBOX360. I beg you.
Le retour tant attendu de l’arcade et du scoring ? The Club et Sega tentent de nous faire retrouver les sensations de notre jeunesse (qui est bien trop éloignée)