GamePolitics ferme ses portes
avril 5th, 2016Un site vidéoludique majeur disparaît, témoin d’une époque qu’on ne regrettera pas. Faut-il pour autant l’oublier ? Voilà qui serait regrettable.
Un site vidéoludique majeur disparaît, témoin d’une époque qu’on ne regrettera pas. Faut-il pour autant l’oublier ? Voilà qui serait regrettable.
Avant de se demander si le débat est mort, on peut se demander si, pour commencer, il y en avait un. Réponse courte : pas vraiment, non.
Troisième partie du dossier « autour » du GamerGate, et deuxième pilule rouge, où l’on s’aperçoit que le lynchage systématique comme réponse aux critiques n’est pas une bonne option.
Première partie du dossier « autour » du GamerGate. Où l’on s’aperçoit que beaucoup de questions qui nous agitent se posaient déjà il y a longtemps.
Ô joie, je suis enfin publié sur papier imprimé, et c’est à Benjamin Berget, auteur de « L’histoire des jeux vidéo polémiques vol. 1 », que je le dois. Qu’il en soit remercié ici-même.
Dennis McCauley, fondateur et principal rédacteur du blog GamePolitics, vient de nous apprendre ce matin qu’il nous quittait, et que son site changerait de rédacteurs. C’est une occasion de faire le point sur ce site, sur ce qu’il a apporté, et sur ce qui l’attend.
C’est maintenant officiel, Jack Thompson, l’Attila du débat sur les jeux vidéo, le Roi Midas du Point Godwin, vient d’être définitivement radié du barreau. Mais est-il vraiment sorti de nos vies ?
Dans ce deuxième article, nous allons nous pencher sur « l’annus horribilis » du jeu vidéo, l’année 1999, qui allait redéfinir le débat sur la violence des jeux de façon dramatique.
Si comme moi vous lisez régulièrement GamePolitics, vous n’êtes pas sans savoir qu’aux Etats-Unis, ces derniers temps, des députés et sénateurs de nombreux états ont tenté de faire passer des lois pour interdire la vente de jeux vidéo « violents » aux mineurs (1). Une dizaine d’états, tels que la Californie, le Minnesota ou la Louisiane, se […]