RPG : Le plaisir, contre le jeu, contre le joueur ?
mars 13th, 2017Le CRPG a toujours été mon genre de jeu favori. Et pourtant j’y ai gaspillé des centaines d’heures à faire des tâches répétitives. Où est donc le plaisir dans tout ça ?
Le CRPG a toujours été mon genre de jeu favori. Et pourtant j’y ai gaspillé des centaines d’heures à faire des tâches répétitives. Où est donc le plaisir dans tout ça ?
La guerre la plus colorée revient sur la Petite Soeur des Pauvres de Sony.
Dans toute série, il y a un mouton noir. Et bien, je l’avoue sans honte : je l’aime bien, ce mouton-là. Méchoui, je vous l’assure !
Acclamé par certains comme l’un des plus grand RPG de tous les temps, que vaut vraiment ce jeu atypique et introuvable de la playstation ?
Le troisième volet des aventures des deux plombiers version RPG est de loin le meilleur… et c’est surtout grâce à leur ennemi favori, qui se voit enfin donné un rôle à sa mesure. Probablement l’un des meilleurs RPG de la DS !
Ne vous laissez pas rebuter par son aspect repoussant : Mother II, alias Earthbound, est un pur chef-d’œuvre et un classique des RPG.
Le dernier volet maudit des aventures en jogging bleu saura-t-il faire sa place chez les vieux testeurs râleurs intransigeants ? A lire en page 4.
L’échec commercial de la Dreamcast n’a pas empêché Sega de faire de son mieux côté jeux pour relancer la console. Jusqu’à 2000, la Dreamcast n’avait pas de bon JRPG, ce qui a causé une centaine de suicides rituels (ils sont comme ça au Japon). Une raison d’être de Skies of Arcadia était d’apporter un début de réponse à ce manque, en espérant relancer la machine. Mais à proposer un jeu trop bien, Sega aurait dû se méfier de l’effet tuage de concurrence…
En plein milieu de l’ère des jeux casual arrive un titre à la difficulté brutale et sans pitié.
Si vous êtes déçu du dernier mod Oblivion post-apocalyptique, et que vos rêves d’héroic-fantasy cherchent vainement une échappatoire digne de vos prochaines soirées d’hiver, jetez donc un coup d’œil au test de cet ancêtre discret dont la richesse mérite le détour.