La sentinelle est fatiguée – 1ère partie
août 5th, 2011Il vient d’y avoir un massacre en Norvège, et le jeu vidéo, à ce qu’il paraît, a encore été montré du doigt. Mais au fait, est-ce vraiment le cas ?
Il vient d’y avoir un massacre en Norvège, et le jeu vidéo, à ce qu’il paraît, a encore été montré du doigt. Mais au fait, est-ce vraiment le cas ?
Réponse à Michel Desmurget et Bruno Harlé, aux prises avec Yann Leroux sur la question de savoir si « les jeux vidéo rendent violent. »
Avant 2009, le débat sur la violence des jeux vidéo en Allemagne était déjà mal en point. Après 2009, il a carrément sombré. L’heure est venue de faire le bilan (et de me faire plein de pub au passage).
Entre le « serious game » sur le Mur de Berlin et le mod de Wolfenstein 3D sur le camp d’extermination d’Auschwitz, on se demande parfois ce qui se passe par la tête de certains. Si tant est qu’il s’y passe quelque chose.
Ça alors, voilà un nouveau rapport sur les jeux vidéo ! Ça alors, c’est toujours la même chose ! Ça alors, pour une fois, je vais être bref !
Après Christian Pfeiffer, voici un autre chercheur dont les travaux sur la violence des jeux vidéo ont fait sensation. D’autant que les accusations radicales qu’il porte contre les « killerspiele » sont largement reprises en Allemagne et ailleurs.
Attention, gros calibre : la personnalité allemande que nous allons vous présenter ici mérite vraiment ce qualificatif. Il s’agit du criminologue Christian Pfeiffer, probablement le détracteur des jeux vidéo le plus célèbre et le plus respecté dans son pays (accessoirement, c’est aussi le frère de Regine).
Nouvelle traduction d’article en provenance d’Allemagne. Fidèle à la politique de la carotte et du bâton, après avoir présenté Regine Pfeiffer, une critique des jeux vidéo ouverte au dialogue, j’introduis Sabine Schiffer, une détractrice acharnée de ce média, qui ne sait pas en parler autrement que sur un ton hostile et méprisant.
Nouvelle incursion en Allemagne, afin de rendre visite aux détracteurs locaux de la violence des jeux vidéo. Plus précisément, une détractrice, qui a beaucoup d’atouts en sa faveur, notamment une bonne connaissance de ce qu’elle critique et une volonté de dialoguer inébranlable. J’ai nommé : Regine Pfeiffer.
Le dieu de la guerre déchu est de retour pour clore une trilogie faite de vengeance et d’une débauche de violence à grand spectacle. Ça va saigner, et pas qu’un peu.