Nan mais sans déconner, c’est pas un peu HALLUCINANT CETTE HISTOIRE ? T’as vu la gueule de l’année 2010 ? Parce que bon, je vous avais dit que 2009 était une belle année pour le jeu vidéo dans les Pipowards de l’année dernière, mais alors cette année c’en est devenu indécent ! Alors du coup, impossible de résister à l’envie d’y aller de ma petite sélection pour cette folle année 2010 ! On oublie pas que ça ne sera pas forcément que des jeux sortis cette année, mais ceux auxquels j’ai joué en 2010. NUANCE, HORTENSE.

CATÉGORIE « A DÉJÀ EU UN PRIX L’ANNÉE DERNIÈRE MAIS EST SORTI EN 2010, EN VRAI » :

Eh ouais mon bâtard, tu croyais vraiment que j’allais te laisser passer la ptite Bayo comme ça ? Parce que ouais, c’était peut-être mon jeu de l’année dernière derrière Street Fighter 4, mais il est sorti en janvier 2010 ! Et là BOUM, j’en place une pour les petits frères, tavu. Bon ben que dire à part ce que j’ai déjà raconté en long en large et en travers sur ce même site : Un jeu virevoltant, magnifique, profond, d’une générosité rarement vue ailleurs… ET PUIS CE CUL NOM DE NOM ! Donc ouais, plein de bisous coquins là où ton oncle te touchait quand tu avais 12 ans.

CATÉGORIE « WOAH BÂTARD, JE SUIS SUR LE CUL AVANT MÊME DE JOUER » :

Attention, préparez-vous à revoir son nom plusieurs fois dans la liste. Super Street Fighter 4 et son intro en béton armé, celle qui te donne envie de te battre juste en la regardant. Le montage, la musique, l’animation… Quel bonheur, bordel ! Je crois qu’au moment de récupérer le jeu, j’ai du la mater en boucle une dizaine de fois pour me convaincre que son awesomeness était bel et bien vraie. Spoiler alert : Oui, ce trailer est incroyable.

Dauphin : Left 4 Dead 2

CATÉGORIE « TELLEMENT BIEN ECRIT QUE SI TU SORS TON JEU EN FILM, JE PAYE MA PLACE » :

Pour comprendre l’importance de ce choix, deux/trois pré-requis : Je hais les space-opera et je ne suis pas fan des RPG occidentaux « modernes ». Et pourtant, Mass Effect 2 m’a happé comme rarement des jeux m’ont happés. La qualité de l’écriture, le background des différentes races, les doublages parfaits, la maturité et l’intelligence dans sa façon d’aborder ses diverses problématiques… Ce jeu est d’une finesse rare. Si vous en avez marre que les jeux vous prennent pour un con et que vous n’avez pas peur de prendre en pleine face un univers d’une cohérence et d’une crédibilité rares, Mass Effect 2 est pour vous.

Dauphin : Fallout : New Vegas

CATÉGORIE « QUAND JE M’Y METS JE SUIS LA PLUS GROSSE CAGOLE DE LA TERRE » :

Ah ben ouais les gars. Si vous me voyiez déhancher mon bouli sur Dance Central au rythme de Maneater ou de Evacuate the Dancefloor, vous seriez non seulement super impressionnés, mais vous auriez le plus gros mancrush de votre vie. Parce que déjà le jeu est bien foutu (les potes), mais j’essaie d’y apporter la plus grosse production value possible en DANSANT COMME UNE GROSSE SALOPE DE SUPERMARCHÉ. Et je m’amuse comme un petit fou. Ou une grande folle, c’est selon.

Dauphin : Lips Party Classics (Parce que sur le store, il y a ça)

CATÉGORIE « TIENS DONC, LE 2 EST MIEUX QUE LE 1, POUR UNE FOIS ! » :

Et j’étais le premier surpris, tiens. Après un Assassin’s Creed qui passait son temps à tout faire de travers juste pour m’énerver, la suite est arrivée et j’ai mis de nombreux mois avant de m’y essayer. « Non j’avais pas aimé le premier, c’était verbeux et chiant. Non, je suis sûr que ça sera tout nul ». Et bien le constat est sans appel : Je suis un con. Parce que ce Assassin’s Creed 2 corrige 90% des erreurs de son aîné, rajoute une tetrachiée de bonnes idées, possède une direction artistique en béton armé, et se paye le luxe de t’apprendre des trucs. C’est assez rare pour être souligné. Gros bisous Bibisoft !

Dauphin : Just Cause 2

CATÉGORIE « AH MERDE J’AI RATÉ MA STATION ! »

Picross 3D, le time-waster ultime. Ca commence gentillet, on a un peu peur que ça soit bien trop complexe pour nos petits cerveaux idiots, et puis c’est vite l’engrenage. On comprend les règles, on assimile quelques automatismes et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, on enchaîne les puzzles à une vitesse folle, en oubliant le monde qui nous entoure. Ouvrir la boîte de Picross 3D, c’est ouvrir la boîte de Pandore, et accepter de vendre son âme à Satan en échange de l’un des titres les plus addictifs existants sur DS. Vous pourrez pas dire que vous n’étiez pas prévenus.

Dauphin : DJ Max Portable Black Square

CATÉGORIE « PAS DE GROS GTA CETTE ANNÉE, ALORS ON JOUE A QUOI ? »

Ben ouais, après la folie GTA4 de l’année dernière, il fallait bien quelque chose pour assouvir notre soif d’open-worlds et de longues storylines qui envoient le bois. C’est là qu’est arrivé Red Dead Redemption. Furieux, désespéré, mélancolique et d’une noirceur à faire peur, le titre de Rockstar est apparu de nulle part et a offert aux joueurs un univers vaste et incroyablement riche, que ce soit en solo ou en multi. Chasse, courses de diligence, gunfights qui sentent la poudre, le jeu arrive à mélanger divers gameplay avec brio, tout comme il recrache son petit Eastwood illustré avec intelligence et panache. On y croyait plus trop (notamment avec de sombres histoires autour du développement du jeu) et il est finalement arrivé, pour se hisser au panthéon des GTA-like.

Dauphin : Grand Theft Auto : Episodes from Liberty City

CATÉGORIE « SI UN JEU SE JOUE TOUT SEUL, ON APPELLE ÇA DE LA MASTURBATION ? »

Non mais quel jeu idiot. FFXIII représente le non-jeu ultime. Énormément de blabla, des cinématiques d’une beauté à tomber, mais des combats NULLISSIMES. En gros, il suffit de se foutre en auto, d’appuyer sur le bon bouton deux ou trois fois, et voilà, combat remporté. Durée moyenne des escarmouches : 6 secondes. Attention toutefois, il y aura parfois des boss un peu plus complexes, nécessitant de passer du mode combat « auto 1 » à « auto 2 ». SCIENCE ! Je pourrais aussi parler du scénario con à pleurer (les héros arrivent et parlent de plein de trucs super compliqués sans prendre le temps d’expliquer quoi que ce soit), du level-design, des 30 heures de tutorial (véridique) ou encore du personnage qui se bat avec du fil dentaire, mais on va dire que je m’acharne.

Dauphin : Heavy Rain

CATÉGORIE « AH BEN C’EST PAS MIEUX QUE LE PREMIER, MAIS ON LUI PARDONNE » :

Ahhh, No More Heroes 2. On l’aura attendu, lui. Distribution chaotique, censure, pas censure, on ne savait pas vraiment sur quel pied danser avec l’ami Travis. Puis, un beau jour (ou peut-être une nuit), le jeu est sorti, dans l’anonymat le plus total, ambiance « les vrais savent ». Et puis c’était cool. De nombreux défauts en moins, quelques défauts en plus, censure aux oubliettes, des personnages pas toujours au top, des minigames repensés (pour le meilleur) et, malheureusement, un boss de fin un peu nul qui laisse un gout amer dans la gorge quand vient le générique de fin. Mais ce n’est pas pour ça qu’il faut renoncer à se faire plaisir, et ce NMH 2 reste un cran au dessus de toute la production Wii.

Dauphin : Puzzle Quest 2

CATÉGORIE « J’Y AI CRU, PAS EUX » :

Monde de merde. Avec un postulat de départ aussi cool (un GTA online), All Points Bulletin avait tout pour plaire. Après m’être inscrit à la beta et avoir joué quelques heures, j’en étais certain : Je me retrouvais face à un grand jeu. Certes il manquait plein de trucs, c’était buggé AS HELL, mais le potentiel était là, les arts étaient trop beaux, et un bon gros coup de polish allait me rendre tout ça plus joli et optimisé. Cette idée de gendarmes et voleurs online fonctionnait super bien et le jeu pouvait se montrer super immersif. Suddenly, l’éditeur crève et fout plus ou moins son jeu à la poubelle. Résultat je me mets en position fœtale, je renifle un peu, laisse couler quelques larmes, puis regagne de l’espoir en voyant que Epic se rachèterait bien la licence. A suivre.

Dauphin : Two Finger Heroes, le projet d’Arkedo pour Kinect (Bon, en vrai, je pense qu’ils y ont cru aussi)

CATÉGORIE « ZAZIE DANS LE RÉTRO » :

Mais quel bonheur ! Quelle surprise de chaque instant ! Ce Scott Pilgrim disponible sur les plates-formes de téléchargement de la Xbox 360 et de la PS3 aura été une véritable cure de jouvence pour moi. Un gameplay (parfois trop) simple, une ambiance de folie, des easter eggs comme s’il en pleuvait, et surtout, un amour du pixel qui suinte à chaque nouvel écran. L’idée de génie d’Ubisoft sur ce coup, c’est d’être allé chercher les bonnes personnes. A l’animation, nous avons l’extraordinaire Paul Robertson, véritable pape du pixel-art, tandis qu’à la musique, ils sont tout simplement allés demander à Anamanaguchi de leur faire la BO (pas cher, cours l’acheter). Donc ouais, bien bel ouvrage pour un jeu qui tabasse.

Dauphin : Super Meat Boy

CATÉGORIE « BAS MK BOULE DE FEU » :

Ah ben forcément, hein. Vous étiez prévenus, je n’allais pas pouvoir passer sous silence Super Street Fighter 4, qui doit être le jeu sur lequel j’ai passé le plus d’heures cette année. Plus de persos, plus d’Ultras, plus de décors, des personnages rééquilibrés, un mode online nickel, on ne peut absolument RIEN reprocher à ce jeu. Tout ce qu’il veut faire, il le fait bien. Et c’est exactement pour ça qu’on finit par regarder ses stats et être apeuré de voir qu’on y a passé pas loin de 500 heures. Et au delà de ça, les heures ne comptent plus quand on en est au point de télécharger 35Go de frame data pour regarder les coups au ralenti et voir quelles frames sont actives à quel moment. Oui, ce jeu m’a atteint à ce point là. Also : Wait, what?

Dauphin : King of Fighters 2002 UM

CATÉGORIE « J’ARRÊTE, CE JEU EST TROP CON » :

Hahahaha ! Je sens que vous êtes bien emmerdés pour essayer de savoir de quel jeu je vais vous parler, étant donné que tous les putains de FPS se ressemblent ! En enfournant la galette de Call of Duty : Black Ops dans ma console, j’espérais retrouver quelques unes des bonnes idées qu’avait Modern Warfare 2, ou tout du moins quelque chose d’aussi épique. Je crois avoir tenu une heure et demie, ce jeu étant tout bonnement une insulte à l’intelligence des joueurs. Votre objectif, du début à la fin, sera de SUIVRE un pote donné en tuant des gens de-ci de-là. Je ne sais pas vraiment si le jeu contient des morceaux de bravoure intenses, étant donné que je me suis arrêté dès que je sentais que le jeu me parlait en faisant DERPA DERP DERP et que j’en avais subitement marre d’être pris pour un con.

Dauphin : Transformers : War for Cybertron

CATÉGORIE « MAIS EN FAIT IL EST BIEN CE JEU, PUTAIN ! » :

Ah ouais la claque. On savait pas trop quoi en penser, on se moquait un peu de ce jeu développé par les espingouins de Mercury Steam (Scrapland, Jericho) et parrainé par tonton Hideo (qui a pas du faire autre chose que monter ce trailer hallucinant), et puis on y a joué. Ah ouais la claque. D’une beauté insolente, le dernier Castlevania se paye le luxe de pomper tout ce qui s’est fait dans le domaine action ces cinq dernières années et le recrache parfaitement. Ajoutons à ça une direction artistique à la sensibilité européenne, des mécaniques de gameplay super bien attachées les unes aux autres, et vous obtenez LA grosse surprise de 2010. Ya pas à chier, c’est encore meilleur quand ça surprend. #Buttsecks

Dauphin : Red Dead Redemption

CATÉGORIE « SI ON MET UN 2 DANS LE TITRE, IL FAUT DEUX FOIS PLUS DE ZOMBIES » :

Décrié par tous les joueurs du premier épisode (« Mais c’est honteux ! On nous fait payer un add-on full price ! »), Left 4 Dead 2 a débarqué en mettant un coup de poêle dans la gueule de ces abrutis de haters. Parce que mine de rien, l’épisode original avait son lot de défauts, et L4D2 y a remédié en ajoutant une palanquée de nouveautés super cool. Les nouveaux infectés tabassent, les maps sont infiniment supérieures (Le grand huit ! L’autoroute !)  et au final, on en a vraiment pour son argent. Sans compter que Valve continue à mettre à dispo des campagnes gratoches (sur PC seulement, mais qui y joue sur consoles, de toutes façons ?). Une putain d’expérience, sans aucun souci.

Dauphin : Dead Rising 2

CATÉGORIE « ET TA BAFFE DANS LA GUEULE, TU LA PRÉFÈRES COMMENT ? »

Grecque et musclée, merci. God of War 3, au delà de ses qualités intrinsèques, se permet d’avoir la scène d’exposition la plus dingue jamais vue dans un jeu. Alors qu’il était tranquillou sur Gaïa en train d’escalader le Mont Olympe, fracassant déjà la mâchoire du joueur devant sa télé, Kratos se met en tête de casser la gueule à Poséidon. Et ben allons-y ! Le coquinou se ramène en faisant le chaud sur un PUTAIN DE CHEVAL AQUATIQUE COMME T’EN AS JAMAIS VU, et le combat qui s’ensuit dépasse honteusement les 9000 dans le awesome-o-meter. Et je vous raconte pas la fin du combat, quand Kratos défonce Poséidon dans un magnifique cassage de gueule à la 2e personne (video spoiler).

Dauphin : Vanquish

CATÉGORIE « PUTE DE JEU TROP DUR ET QUE POURTANT JE CONTINUE. BÂTARD. » :

J’ai passé un nombre d’heures indécent sur Super Meat Boy. Sa maniabilité merveilleuse, ses clins d’oeil rétro dans tous les sens, sa BO géniale, et sa difficulté INHUMAINE m’y font régulièrement revenir. Le degré de finition du jeu est extraordinaire, et sa frénésie nous pousse à ne jamais nous arrêter. Il y aurait beaucoup de choses à en dire (et je l’ai d’ailleurs fait ici), mais ce qu’on retiendra, c’est qu’il est gagnant dans la catégorie « Fils de pute, arrête de me fouetter, non en fait continue ». Si vous aimez les challenges, gogogo ta race.

Dauphin : Demon’s Souls

CATÉGORIE « A DEUX, C’EST MIEUX » :

Avec ma douce colocataire Morue, nous avons pris pour habitude de nous farcir tous les rail shooters qui sortent sur Wii. Et ben quelle ne fut pas notre surprise en passant un excellent moment avec Resident Evil : The Darkside Chronicles. Si le jeu commence un peu moyennou (niveau peu inspiré, shooting un peu mou), le jeu augmente vite son rythme pour proposer de vrais bon moments, comme par exemple toute la relecture du commissariat de Resident Evil 2 à la première personne. Alors oui il y a des défauts, oui le boss de fin est nul à chier, mais globalement, c’est un bon petit plat qui nous est préparé avec amour.

Dauphin : The House of the Dead : Overkill

CATÉGORIE « BLOG CARAMBAR » :

Et hop, une catégorie un peu spéciale pour parler de la Team Meat composée de Edmund Mc Millen et Tommy Refenes, respectivement designer et programmeur de Super Meat Boy. Blagues scatos, posts bourrés de non-sens total, troll épique contre le PETA, j’aurais acheté leur jeu même s’il avait été à chier. Ne ratez pas les différentes vidéos, notamment celle ou Edmund Mc Millen fait beta-tester le jeu par sa maman.

Dauphin : Le blog des développeurs de Bulletstorm

CATÉGORIE « DOUBLE RAINBOW ALL THE WAY » :

Rhoooooo, cette petite surprise de fin d’année. Le premier bon Sonic consoles est sorti. Après 10 ans d’attente. Sur Wii.

Me regardez pas comme ça, je suis le premier surpris. Gameplay agréable, musiques excellentes, graphismes très propres, level-design inégal mais globalement inspiré, ambiance DÉMENTIELLE, Sonic Colours porte extrêmement bien son nom. Hystérie visuelle, ode à la synesthésie, impossible pour le joueur de 198X de rester de marbre face à ce qu’on aurait pu réellement appeler Sonic 4. Si le premier run se termine assez vite, vous allez en chier pour trouver toutes les pièces rouges (oui, bon) et avoir un bon classement sur chaque niveau. Bonheur bonheur dans ta soeur.

Dauphin : Le vrai double rainbow de Call of Duty : Black Ops

CATÉGORIE « LÂCHEZ MON PANTALON MONSIEUR JE VEUX RETOURNER A MA VRAIE VIE ! » :

Il y a des jeux, comme ça, où au moment de cliquer sur l’icône, tu sais que t’as fait une connerie et que tu n’es pas prêt d’aller dormir. Et bien c’est peu ou prou ce qui m’est arrivé avec Fallout : New Vegas. Après un Fallout 3 pas si mauvais que ça mais un peu moribond, FNV change la donne et redore le blason, en s’offrant une écriture plus proche des premiers Fallout, un univers fantastique et un gameplay un peu retravaillé. En résulte un jeu chronophage et accrocheur, où vous pouvez faire ce que vous voulez, sans que l’idée soit galvaudée, pour une fois. Il y aura toujours quelques couacs à droite à gauche, mais un Fallout sans bugs ni incohérences ne serait pas totalement un vrai Fallout, non ?

Dauphin : King’s Bounty : The Legend

CATÉGORIE « NON MAIS ATTENDS, LA NES POUVAIT FAIRE ÇA ? BORDEL DE MERDE ! » :

Cette année, j’ai découvert Tim Follin et Geoff Follin, deux compositeurs qui avaient réussi à pousser les tripes de la NES pour faire les morceaux les plus catchy et les plus hallucinants que l’on puisse sortir de cette vieille boîte grise. Vous doutez ? Ecoutez-moi un peu le theme du stage 1 de Silver Surfer.

Dauphin : Solstice (Tim Follin) 

CATÉGORIE  : « NON MAIS SINON IL SORT QUAND TON JEU ? » :

Et voilà que Super Meat Boy fait encore parler de lui ! Après une campagne plutôt corsée, ça continue avec cette pub voulant copier les vidéos toutes péraves des années 90, la Team Meat a lâché une pure perle, effet magnétoscope en bundle. Pas dit que ça touche énormément de joueurs, mais ils ne sont pas à ça près.

Dauphins : L’annonce des persos de 3.3 dans SSF4; Trailer co-op de Portal 2

Mention spéciale : The Creature

CATÉGORIE JEU DE L’ANNÉE :

Ehhhh oui. Evidemment. Tout comme j’avais joué comme un goret à SF4 l’année dernière, cette année-ci a été sous le signe de Super SF4. Pour les raisons déjà expliquées plus haut, pour les heures passées dessus, pour les soirées entre potes, pour les matches commentés de Ken Bogard, pour les journées entières à essayer de rentrer un link, pour les combos qu’on trouve par erreur, pour Juri, pour les nouveaux costumes, pour les messages sympas après un match en ligne, pour les messages d’insulte après un match en ligne, pour mes doigts qui ont gagné en agilité, pour tout ça, oui, MERCI CAPCOM.

Dauphin d’or : Left 4 Dead 2

Dauphin d’argent : Mass Effect 2

Dauphin de Bronze : Super Meat Boy